LA plage de Bombay où les habitants se retrouvent dès la fin de l’après-midi. On ne s’y baigne pas, pollution oblige. Là aussi nous sommes observés, scrutés et pris en photos. L’air marin peut-être enfin distingué parmi les odeurs de fritures, de pots d’échappement, de terre mouillée et de pourriture. L’odeur de l’Inde, toujours la même, celle décrite par Pasolini dans son livre du même nom (un grand merci à Valentine pour ce livre qui a accompagné mon voyage en train vers Pune ;))Chowpatty est un lieu agréable; j’arrive même à m’allumer une cigarette malgré le vent.
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